Le Rassemblement national vise le Sénat

Communiqué

Dimanche 9 juillet, le RN s’est rassemblé à La Baule. Au programme de la rencontre : élections sénatoriales, mais aussi élections européennes de 2024 et élections municipales de 2026, avant l’élection présidentielle de 2027.

Le Rassemblement national était à La Baule, dimanche 9 juillet, dans la salle des Floralies, en présence d’Edwige Diaz, vice-présidente du parti, et de Gauthier Bouchet, tête de liste du parti en Loire-Atlantique, pour les élections sénatoriales de septembre.

Au programme de la rencontre : élections sénatoriales, mais aussi élections européennes de 2024 et élections municipales de 2026, avant l’élection présidentielle de 2027.

Cette rencontre marque la première campagne sénatoriale du parti en Loire-Atlantique. « Nous voulons envoyer un message d’espoir. L’objectif est de rétablir l’anomalie démocratique entre l’Assemblée nationale, où nous avons 89 députés, et le Sénat, où nous n’en avons pour le moment aucun », affirme Edwige Diaz.

Jules Castanié

Anti-Police : Seassau doit démissionner

Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique vient de prendre connaissance de la création d’une fresque représentant, pour s’en moquer, la mort de policier, au festival des Scènes vagabondes, organisé samedi dernier à Nantes et financé par la Ville. Il condamne cette représentation avec la plus grande fermeté, demande une peine exemplaire contre son créateur et les organisateurs du festival ayant admis sa mise en place, et la démission d’Aymeric Seassau, adjoint à la culture du maire de Nantes.

Le RN défend les policiers municipaux nantais

Ce matin avec Victoria de Vigneral, conseillère régionale, à la Maison de la tranquillité publique de Nantes. Le Rassemblement national défend nos policiers municipaux !

Un couvre-feu nocturne à Nantes et Saint-Nazaire

Sans surprise, les émeutes se sont poursuivies hier soir en Loire-Atlantique, principalement en région nantaise. Mais, par un phénomène de contagion prévisible, la ville Saint-Nazaire, a également été touchée : pillage d’un fast food à Océanis, pillages aussi jusque dans les rues du centre, au Ruban bleu (Foot LockerZara), confrontations avec la Police et tirs de mortier à la Bouletterie, et harangues violentes d’activistes antifas, rue de la Paix… à deux pas de la Mairie !

De fait, le maire de Saint-Nazaire, ni le reste des pouvoirs publics, ne contrôlent plus rien. À cette situation d’anarchie, doit répondre la Loi et l’ordre ; le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique demande que les maires de Nantes et Saint-Nazaire mettent en place dès aujourd’hui, 22 heures, un couvre-feu nocturne, jusqu’à accalmie de la situation.

L’agglomération nantaise cible d’émeutes

Depuis la mort accidentelle du jeune délinquant Nahel M. à Nanterre, en début de semaine, nos banlieues s’embrasent. Toute mort est une tragédie, mais il nous faut revenir à du bon sens, en arrêtant de cautionner la délinquance et ceux qui s’y adonnent.

Une vague d’émeutes urbaines déferle maintenant sur la France, et l’agglomération nantaise n’y échappe pas. Ainsi, rien que pour la nuit dernière, nous déplorons un magasin visé par une voiture-bélier, des voitures et du mobilier urbain incendiés, des tirs de mortiers sur la façade d’un commissariat à Saint-Herblain : c’est une généralisation de l’ensauvagement. La région nantaise, trop souvent, est la cible de ces racailles qui saccagent tout, s’en prennent à nos symboles républicains dans l’impunité la plus totale.  Quand le « vivre-ensemble » portée par la gauche immigrationniste devient le « vivre avec » il n’y a plus d’État de droit.

Les refus d’obtempérer s’accumulent, et nos élites préfèrent soutenir les délinquants plutôt que nos forces de l’ordre : ces responsables politiques portent en eux la responsabilité de ces émeutes. Si les émeutes ressemblent à celles de 2005 par leur intensité, la particularité de celles d’aujourd’hui est qu’elles sont soutenues par des élus de la République, comme en témoigne la communication de l’antenne départementale de la France insoumise (LFI).

Au Rassemblement national (RN), le message est clair : il nous faut reprendre le contrôle, il n’est pas possible que notre pays bascule dans une sorte de guerre civile. Ces bandes de racailles détestent l’autorité et la France… Le laxisme judiciaire et la stigmatisation de nos forces de l’ordre, ça suffit ! Nous apportons notre soutien le plus total aux dizaines de forces de l’ordre blessées dans l’agglomération, par ces actes criminels.

Bryan Pecqueur

Sur la banderole anti-Gendarmerie à l’Université


Les manifestations qui ont actuellement lieu à Nantes connaissent un niveau de violence sans précédent. Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique réprouve totalement cette violence.

À l’Université de Nantes, sur le campus du Tertre, cette violence a pris jeudi dernier la forme d’une banderole se référant aux émeutes de Sainte-Soline, avec des menaces de mort implicitement destinées à la Gendarmerie. En tolérant cela sans le dénoncer, Carine Bernault, présidente de l’Université, fait preuve d’un laxisme incroyable envers les racailles qui pourrissent la vie des étudiants. Son parti-pris idéologique est d’ailleurs connu : après avoir choisi Emmanuel Macron, elle semble avoir de paradoxales sympathies pour l’ultragauche.

Après cette énième provocation gauchiste sur le campus, le RN de la Loire-Atlantique appelle à sa démission. Le Rectorat de l’Académie de Nantes peut-il tolérer des propos si orduriers sur les murs d’une institution publique

Gauthier Bouchet

Un réacteur PRM à Cordemais : c’est oui

Communiqué


Durant la session plénière du conseil régional des Pays de la Loire d’octobre dernier, la présidente, Christelle Morançais, a réaffirmé son souhait que l’actuelle centrale thermique de Cordemais, en Loire-Atlantique, soit à terme transformée en centrale nucléaire à petit réacteur modulaire (PRM). Si elle entreprise dans les mois à venir, cette transformation pourrait être effective à horizon 2038.

Dont acte. Nous sommes des opposants constructifs. Et nous savons donc donner raison à la majorité régionale lorsque ses orientations vont dans le sens de l’intérêt général. Or, c’est précisément ce qui se dégage de ce projet, alternative à la fermeture de la centrale, son maintien dans l’exploitation du charbon ou au prochain de cocombustion (intéressant, mais que l’Etat s’est refusé à finaliser, ces dernières années). Notre groupe appelle donc à la constitution de ce PRM et s’interroge sur l’opposition obstruction systématique des élus de gauche sur ce projet industriel d’avenir, garant de nombreux emplois et de notre sécurité énergétique…

La France sous le macronisme


Sous Emmanuel Macron, la France n’est plus une puissance de premier plan. D’autres États sont désormais les médiateurs de la diplomatie internationale. Jusqu’à quand ?

VERBATIM

Vous serez rétablis dans votre dignité. Vous serez rétablis dans votre identité, votre souveraineté de pays libre également. Et nous entamerons une politique très différente de ce qui a été fait, là, depuis six ans avec le macronisme, mais, en réalité, qui est une continuité de ce qui se faisait avant, et une continuité en pire à chaque fois.

Parce que, je ne sais pas ce qu’en pense chacun. Et chacun peut avoir l’opinion qu’il veut. Mais on se prend parfois à regretter certains présidents qui étaient nos adversaires politiques.

Quand on voit la dégringolande entre Giscard d’Estaing et, actuellement, Macron (qui d’ailleurs est un peu un continuateur de Giscard), cette dégringolade de l’influence internationale de la France, de la place de la France dans le monde, de la place de ce pays dont on ne sait jamais très bien maintenant  s’il est sixième, septième, peut-être huitième puissance mondiale, intercalée quelque part entre l’Indonésie et le Brésil, certainement — c’est vous dire à la fois notre dégringolande et la montée de ces pays — ces quarante ans de dégringolade économique en termes de puissance industrielle, parce que nous avons désindustrialisé, en termes de puissance agricole, parce que nous avons trop fait confiance à l’échelon européen, à la Politique agricole commune (PAC)…

En termes internationaux, vous voyez bien, actuellement, dans la guerre russo-ukrainienne qui se joue, non seulement la France n’est pas un acteur, n’est pas un médiateur, n’a pas le poids diplomatique que son histoire devrait légitimement lui donner. Mais une puissance comme la Turquie a cette légitimité, capacité de médiation, capacité diplomatique qui devrait nous revenir.

La Turquie est un acteur. La France n’est plus un acteur. Ces quelques mots résument encore une fois notre dégringolade et l’émergence d’autres puissances qui sont, véritablement, nos rivales dans ce monde multipolaire qui émerge.

Et on se plaît, comme cela (je ne sais pas vous), en considérant Macron et les présidents qui étaient avant, à regretter ce qu’a pu  être la France parfois sous Chirac, un peu sous Mitterrand, un peu sous Giscard, pas tellement  sous Sarkozy et Hollande, je vous concède. Mais on se plaît comme ça à considérer le macronisme  à l’aune de ce qu’il y avait avant.

89 députés du RN pour vous défendre !

Éditorial de RN44 infos n° 01 (automne 2022)


À la suite de l’élection présidentielle, les Français viennent de confirmer l’orientation politique qu’ils souhaitent donner au pays. Lors des élections législatives de juin, ils ont ainsi massivement plébiscité le Rassemblement national, désignant 89 députés issus de cette formation et de son allié, l’Avenir français. Ce faisant, le RN est désormais la première force d’opposition au président Macron à l’Assemblée.

Les mélenchonistes de la « Nouvelle union populaire », éclatés en sous-blocs et ne parvenant pas à se mettre d’accord sur les grands sujets de politique intérieure et extérieure — des institutions européennes au nucléaire, en passant par leur rapport à la désormais superpuissance chinoise — ne peuvent sérieusement prétendre être l’opposition au macronisme. Ils ne sont en rien ses opposants, eux qui ont appelé à voter Macron au second tour de la présidentielle, selon la logique éculée du barrage. Cette « gauche-castor », qui n’existe que pour construire des barrages, n’est en rien le recours face au macronisme.

Marine Le Pen et ses députés, eux, n’accompagnent pas la politique d’Emmanuel Macron. Ils la combattent ! Par l’opposition constructive qu’ils forment désormais véritablement à l’Assemblée, avec des effectifs décuplés, la constitution d’un véritable groupe d’élus et la nomination à deux vice-présidences (accordées à Sébastien Chenu et Hélène Laporte) les députés du RN sont les seuls à défendre les grands enjeux, autant ceux qui concernent la souveraineté et l’identité de la France que le quotidien des Français, face à la cherté de la vie.

Cette victoire est aussi la vôtre. Elle est celle des 66 000 électeurs de la Loire-Atlantique ayant voté pour les candidats du RN aux législatives, doublant presque nos résultats en cinq ans. Ils sont en effet de 15 % dans la région nazairienne, 16 % dans la Presqu’île, 17 % dans le Castelbriantais, et jusqu’à 18 % dans le Pays de Retz. Les progressions sont donc réelles, y compris dans l’Ouest. La Loire-Atlantique n’est maintenant plus une terre de mission. Elle devient une terre de conquête. Et parce que les 89 élus RN se savent être élus de la Nation, ils défendront y compris les habitants de notre département !

Gauthier Bouchet